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浅析Sylvie Gentil对《红高粱家族》中汉语“乡土语言”采用的翻译策略 Analyse sur les stratégies de traduction de Sylvie Gentil du langage populaire présent dans Le clan du Sorgho rouge毕业论文

 2021-04-08 22:10:04  

摘 要

Résumé II

1 Introduction 1

2 Contextualisations 3

2.1 Présentation de la traductrice Sylvie Gentil 3

2.2 Le contexte et le résumé de Le Clan du sorgho rouge 3

2.3 Présentation de l’auteur Mo Yan 5

3 L’analyse sur les particularités du langage populaire du roman 6

3.1 Le langage populaire chinois et son évolution 6

3.2 Les particularités du langage populaire de Gaomi 6

4 L’analyse sur les stratégies de traduction de Sylvie Gentil du langage populaire 8

4.1 Les argots 8

4.2 Les proverbes 11

4.3 Les chansons folkloriques 14

5 Conclusion 17

Références 18

Remerciements 19

摘 要

《红高粱家族》是莫言乡土文学小说的代表作。作者通过在作品中大量使用高密乡的乡土语言,成功再现了一个鲜为人知但极富魅力的乡土世界。近年,随着各国间文化交流日益频繁,这部中国小说在法语区国家备受瞩目,其成功很大程度上归因于其译者细致认真的翻译。小说的译者Sylvie Gentil作为一位法国翻译家,不仅博学多识,更具有丰富的翻译经验。翻译《红高粱家族》的难点主要在于对其乡土语言的处理,其中包括对当地方言、俚语、谚语及民歌的翻译。Sylvie Gentil因此为研究中国乡土语言的翻译提供了范例。

本论文以小说中出现的乡土语言为研究对象,分析译者对其采用的两大翻译策略:直译和意译。本文除引言和结语外,分为三个部分。第一部分对小说译者、创作背景、情节概要以及作者莫言进行介绍;其次,分析高密乡土语言的主要特色。第三部分则重点分析译者对当地俚语、谚语及民歌所采用的不同的翻译策略。

关键词:红高粱家族;Sylvie Gentil;乡土语言;翻译技巧

Résumé

Le clan du sorgho rouge est l’œuvre représentative des écrits populaires de Mo Yan. En employant amplement le langage populaire du canton de Gaomi, l’auteur a reconstruit dans le roman un monde rural peu connu mais merveilleux. Ces dernières années, avec les échanges culturels de plus en plus fréquents entre des pays, cette œuvre chinoise a fait du bruit parmi le lectorat francophone. C’est largement grâce au travail minutieux de la traductrice de métier française Sylvie Gentil, qui est à la fois érudite et expérimentée. La difficulté de traduire Le clan du sorgho rouge réside principalement dans la traduction de son langage populaire qui regroupe tous les dialectes, argots, proverbes et chansons folkloriques de la région, Sylvie Gentil offre ainsi un bon texte exemplaire de la traduction française du langage populaire chinois.

Ce mémoire a pour but d’analyser les deux stratégies employées dans la traduction du langage populaire du roman : la traduction littérale et la paraphrase. A part l’introduction et la conclusion, nous subdivisons l’article en trois parties: nous présentons tout d’abord la traductrice, le roman et l’auteur Mo Yan. Puis il s’agit d’une analyse sur les particularités du langage populaire de Gaomi. La troisième partie se concentre sur l’analyse de l’emploi des deux stratégies dans la traductions des argots, des proverbes et des chansons folkloriques.

Mots-clés : Le clan du sorgho rouge; Sylvie Gentil; langage populaire; stratégie de traduction

Analyse sur les stratégies de traduction de Sylvie Gentil du langage populaire présent dans Le clan du sorgho rouge

Introduction

La traduction littéraire, qui joue un rôle indispensable dans le développement de la littérature, connaît un progrès continuel depuis plusieurs décennies. Nous pouvons trouver aujourd’hui un nombre respectable d’études et de recherches profondes de ce domaine. En outre, avec le Prix Nobel de littérature de Mo Yan en 2012 et l’initiative de la Ceinture et la Route en 2013, nous nous intéressons davantage à la traduction et à la diffusion à l’étranger des œuvres littéraires chinoises.

Etant donné que Mo Yan est l’écrivain représentatif de la littérature populaire, celle-ci retient ces dernières années plus d’attention du monde des lettres ainsi que de lecteurs, et le langage populaire, qui s’avère être la base de la littérature populaire, est ainsi mis en discussion par davantage de traducteurs. Nous remarquons que c’est en employant le langage populaire que les écrivains populaires arrivent à montrer la saveur rurale et le caractère unique d’une région chinoise.

Pour le moment, la difficulté de traduire des romans populaires chinois réside principalement dans l’exactitude de la saveur rurale. Neanmoins, la plupart de traducteurs n’osent pas faire la tentative de les traduire de peur de « ruiner » les œuvres, et à l’heure actuelle, il n’existe que peu d’études de traduction littéraire sur les langages populaires. Malgré la peine, la traductrice littéraire de métier française, Sylvie Gentil, a réussi d’ouvrir la porte de la France à une vingtaine d’œuvres chinoises, y compris Le clan du Sorgho rouge de Mo Yan. Dans le livre, la traductrice a utilisé des stratégies et des tactiques de traduction bien variées pour faire apprécier le charme du langage populaire de Gaomi, pays de l’auteur. Nous allons donc faire des analyses précises sur les deux stratégies les plus employées: la traduction littérale et la paraphrase, pour s’en inspirer et y puiser ce qui est bon dans la traduction.

Ce mémoire se compose de quatre parties. Dans un premier temps, nous consacrons du temps à introduire la traductrice Sylvie Gentil, l’auteur Mo Yan et le roman Le clan du Sorgho rouge, y compris son contexte et le résumé de l’histoire. Dans la deuxième partie, il s’agit d’une présentation générale du langage populaire chinois et des particularités du langage populaire de Gaomi. Ensuite, nous essayons d’analyser respectivement l’emploi de la traduction littérale et de la paraphrase, tout en prenant des exemples des argots, des proverbes et des chansons folkloriques du langage populaire de Gaomi. Après tout, nous tirons une conclusion.

2 Contextualisations

2.1 Présentation de la traductrice Sylvie Gentil

Adepte de la culture chinoise, travailleuse diligente dans le monde littéraire sino-français, Sylvie Gentil, traductrice de métier française née en 1958, consacre toute sa vie aux études et à la traduction de la littérature chinoise. C’est grâce à elle que les lecteurs francophones ont rencontré les écrivains chinois contemporains tels que Mo Yan, Xu Xing, Yan Lianke et Li Er, et que leurs œuvres font sensation parmi le lectorat étranger. Ayant fait ses études dans l’Institut national des langues et civilisations orientales et à l’université de Pékin, Sylvie a une grande maîtrise de la langue et des connaissances culturelles chinoises.

S’en tenant à l’exactitude de la traduction, la traductrice passe habituellement beaucoup de temps à consulter des documents et à chercher des références avant d’aborder son travail, et n’hésite jamais à poser des questions à ses amis chinois voire aux auteurs. Selon elle, « Il faut que les traducteurs absorbent la culture que possède l’auteur». Afin de reproduire dans sa traduction le régionalisme des romans de Mo Yan, Sylvie a exprès choisi de séjourner pendant quelque temps à Gaomi, de vivre en personne la vie des champs. Avec son sens strict et son haut niveau de traduction, Sylvie a gagné dans sa carrière non seulement le Prix Amédée Pichot de la ville d’Arles en 2009, mais aussi l’amitié des auteurs ainsi que le respect des lecteurs. De plus, bien qu’elle ait étudié pendant longtemps la littérature classique chinoise, sa traduction suit de tout près le développement de la Chine et contribue largement à « l’exportation » des œuvres contemporaines, ce qui révèle aux étrangers la physionomie moderne du pays et concourt ainsi à l’insertion de la Chine au monde entier après la réforme et l’ouverture.

2.2 Le contexte et le résumé de Le Clan du sorgho rouge

Mo Yan situe son histoire Le Clan du sorgho rouge dans une époque tourmentée, saignante et en même temps splendide et mémoriable. Dans les années 30 et 40 du dernier siècle, l’invasion japonaise ravageait les terres chinoises. Les agresseurs cruels ont semé l’horreur partout où ils ont été présents pour que le peuple se soumette à eux, et ont causé sans merci des dommages dévastateurs à la population.

En fait, c’étaient les zones rurales chinoises qui en ont souffert le plus. Dans les villes importantes, grâce à la Révolution chinoise de 1911, au Mouvement du 4 mai et au Mouvement de la Nouvelle culture, de nombreux citoyens ont été mobilisés par les intellectuels progressistes et se sont lancés dans les luttes contre l’impérialisme et le féodalisme. Néanmoins, les habitants des régions rurales, éloignés des réformes politiques et des mouvements culturels, ont dû être éprouvés pendant longtemps par les ravages de la guerre ainsi que par le poids de la tradition. Malgré le renversement du régime impérial et la fondation de la République de Chine, la hiérarchie féodale et la superstition, qui ont gouverné l’Empire du milieu pendant des millénaires, étaient quand même ancrées dans l’esprit de la plupart des villageois. En outre, le régime foncier coutumier qu’on avait du mal à abolir faisait subir les impôts écrasants aux paysans, et a creusé par conséquent le fossé entre les riches et les pauvres. A part les vices laissés par l’ancien régime, les campagnes chinoises de l’époque ont d’autant plus souffert des catastrophes naturelles et des méfaits de bandits que la société restait turbulente.

Gaomi, un des dizaines de milliers de villages chinois des années 30 et 40, un coin reculé de la province du Shandong, est choisi par Mo Yan pour placer l’histoire légendaire et romanesque de Yu Zhan’ao et Dai Fenglian, les grands-parents du narrateur. Au lieu d’accepter un sort misérable auquel leur prochain se résigne, l’héros et l’héroïne du roman s’engagent sans hésitation dans les révoltes. Vouant une haine farouche aux envahisseurs japonais et une aspiration vers la vie, la liberté et l’indépendance, Yu Zhan’ao se fait chef des brigands du lieu pour se battre contre les ennemies. Malgré les armes arriérées, un ordre dispersé et l’inexpérience, les paysans menés aux batailles font preuve d’un courage enflammé et d’un esprit de sacrifice. Profondément amoureux de Dai Fenglian, le jeune brigand choisit de tuer son mari, un propriétaire terrain, et délivre ainsi la jeune fille de la contrainte du mariage féodal. « Ma grand-mère », maîtresse de la plus grande distillerie d’alcool de sorgho du village, poursuit tout au long de sa vie l’émancipation et l’indépendance des femmes, et se dévoue pour refouler les agresseurs jusqu’au sacrifice, tout en secondant sans réserve les causes de son amoureux.

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