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摘 要

法国高等教育体系已趋于完整，在国际上，其教学质量也已处于较高水平。此文章旨在比较中法高等教育的差异，使我们可以更好的借鉴法国高等教育的素质教育理念，采用倡导小组合作学习的教学模式，运用以培养学生自信心和独立思维为核心的教学方法，并且加大教学资源的投入，注重素质教育，改善我国高等教育的教学条件，进而提高教学水平。

关键词：法国高等教育；中国高等教育；分析；差异

Table des Matières

1. Introduction 1

2. La Situation de l"Enseignement Supérieur Français 1

2.1 L’éducation primaire et secondaire et le baccalauréat 1

2.2 L’enseignement supérieur francaise 2

2.2.1 L’université 3

2.2.2 Les instituts universitaires de technologie (IUT) 3

2.2.3 Les grandes écoles 4

2.3 La dépense gouvernementale 4

3. Le Développement de l"Enseignement Supérieur Chinois 4

3.1 Le changement et développement de l’enseignement supérieur chinois 4

3.2 L’enseignement supérieur chinoise actuel 5

3.3 La dépense gouvernementale 6

4. La Comparaison de l’Enseignement upérieur entre la France et la Chine 6

4.1 Des avis sur l’enseignement 6

4.2 La mode de l’enseignement 7

4.3 Les méthodes de l’enseignement 8

4.4 Les ressources pédagogiques 8

4.5 L’évaluation de l’enseignement 9

5. Ce que nous pouvons apprendre 10

5.1 L’amélioration de qualité des enseignants 10

5.2 La réforme des méthodes d"enseignement 10

5.3 le renforcement de l"éducation d’intégrité 11

5.4 L’essai de l"éducation bilingue ou multilingue 11

5.5 L’amélioration de la condition d’éducation 11

Bibliographie 12

1. Introduction

L"enseignement supérieur en France a plus de 500 ans d"histoire. Son système d"éducation est presque complet. La qualité de l"enseignement atteint également un niveau plus élevé que celui de la Chine. Et au fil des ans, il a formé ses propres caractéristiques. Après le commencement de la réforme de l"enseignement supérieur dans l"Union Européen, la France l’a également effectué pour que le diplôme d"études supérieures soit efficace internationalement. Selon la comparaison de l"enseignement supérieur français et chinois, on peut trouver des points différents et des points communs. On analyse soigneusement les avis de l’enseignement, la mode de l’enseignement et la gestion de l’enseignement afin de mieux savoir les défauts de développement de l"enseignement supérieur en Chine. De plus, on apprend les nouvelles méthodes d"enseignement en vue d’améliorer le niveau de l’éducation supérieur chinois et la qualité de l"enseignement. Dans une certaine mesure, cela sera bénéfique pour affronter des défis de développement de l"enseignement supérieur dans le futur.

2. La Situation de l"Enseignement Supérieur Français

Depuis des années, on ne cesse pas de parler de réformes de l’enseignement francais. En 1789, pendant la Révolution Française, le système éducatif était réparti en trois niveaux: le primaire, le secondaire, le superieur. Aujourd’hui, cette répartition existe toujours. Ensuite, à l’époque de Napoléon, le monopole du système educatif appartenait à l’Etat, et certaines Grandes Ecoles étaient établites selon le code militaire. Plus tard, sous la Troisième République, l’école est devenue obligatoire et gratuite, ainsi que laïque, c’est-à-dire que l"école publique ne devait plus enseigner des sujets portant sur la/les religion(s) et tous les signes religieux étaient interdits dans les école de la République. Ces principes ont toujours cours aujourd’hui.

2.1 L’éducation primaire et secondaire et le baccalauréat

Un enfant commence ses études dès l’âge de deux ans jusqu’à l’âge de cinq ans dans l’école maternelle, mais elle n"est pas obligatoire (la scolarité n"étant obligatoire que de six à seize ans en France) . Il y a trois différents niveaux: la petite section, la moyenne section et la grande section.

A six ans, un enfant entre dans le premier degré, qui dure en général cinq ans si l"enfant ne redouble pas. A ce niveau, l’enfant va appendre à lire, à écrire, à découvrir les mathématiques. De plus, il commence à être mis en contact avec une langue étrangère qui est généralement l’anglais. Et parfois il est aussi initié aux nouvelles technologies, telle que l’informatique. Il y a cinq differentes classes: le cours préparatoire (“CP”), les cours élémentaires 1 (CE 1) et 2 (CE 2), les cours moyens 1(CM 1)et 2 (CM 2).

Le seconde degré commence dès la sixième. Il est classé par deux parties: le premier cycle, le collège(de la 6e à la 3e)et le seconde cycle, le lycée(seconde, première, terminale). A ce niveau, les élèves suivent des cours principaux comme francais, histoire, géographie, sciences, mathématiques, deux langues étrangères,etc... Quand les élèves finissent leurs études de ce niveau, ils peuvent choisir entre la poursuite de leurs études ou la filière professionnelle.

La majorité des élèves choisissent de poursuivre leurs études en passant le baccalauréat, qui ouvre les portes de l’enseignement supérieur en France. Il y a certains choix différents pour le baccalauréat selon l’intérêt ou les capacités des étudiants, ce choix s"effectue en début de première. Certains choisissent un baccalauréat littéraire(Bac L), certains un baccalauréat scientifique(BacS), d’autres un baccalauréat en sciences économiques et sociales (Bac ES). Un petit nombre d"étudiants suivent des baccalauréats techniques ou scientifiques. Des lycéens peuvent ensuite s’inscrire dans une université en réussissant le baccalauréat, examen de fin d’études secondaires. Les sessions d’examen ont lieu au mois de juin, d’abord, c’est au niveau de la première (qui concerne le français), puis de la terminal (pour les autres sujets). Les épreuves du baccalauréat sont nationalles, ça veut dire qu’elles sont identiques dans l’ensemble des centres d’examen en France. Statistiquement, en 2012, à l"issue de l"épreuve de rattrapage, 84,5% des candidats sont admis en France.

2.2 L’enseignement supérieur francaise

Après le baccalauréat, Plus de deux millions d’étudiants sont inscrits dans l’enseignement supérieur. D’après les informations, depuis cinq ans, ce chiffre s’est stabilisé. L"enseignement supérieur français est divisé en trois catégories: Université, Institut universitaire de technologie (IUT), Grande école. Ils sont très différents les uns des autres.

2.2.1 L’université

Les universités sont ouvertes aux titulaires du baccalauréat ou d’un diplôme équivalent. La majorité des etudiants frequentent les 89 universités français. L’enseignement supérieur est gratuit, les étudiants doivent payer environ 370€ pour la sécurité sociale et les frais administratifs. Les universités les plus fréquentées sont celle de Lettres et de Sciences humaines.

Les études universitaires sont organisées en trois cycles: le premier, de deux ans, qui est sanctionné en général par un diplôme d’étude universitaire général(DEUG); le second, de deux ans, par la licence, puis la maîtrise; les troisième, d’après des sélections différentes, on peut choisir des diplômes d’études supérieures spécialisées(DESS) qui le prepare à la vie active, soit d’études approfondies(DEA) qui permettent de poursuivre jusqu’au doctorat.

Chaque semestre d’études est affecté de 30 crédits ou E.C.T.S(European Credit Transfert Systeme), et ils sont communs à de nombreux pays de l"Union éuropéenne: en licence, 6 semestres validés soit 180 crédits au total; en master, 4 semestres validés soit 300 crédits au total. Le système des crédits n’est pas appliqué au doctorat. Ces crédits sont transférables dans les autres pays de l"Union européenne.

2.2.2 Les instituts universitaires de technologie (IUT)

Les instituts universitaires de technologies forment chaque année près de 110 000 étudiants. C’est un institut interne d’une université. qui dispense en formation initiale et continu un enseignement supérieur destiné à préparer aux fonctions d’encadrement technique et professionnel dans certains secteurs de la production, de la recherche appliquée et des services. Après deux d’études, on peut obtenir un DUT(Diplôme universitaire de Technologie) qui est délivré par le ministère de l"Éducation nationale.

2.2.3 Les grandes écoles

Les grandes écoles ont une excellente réputation. Chaque année, environ 70 000 étudiants s’inscrivent dans des classes préparatoires aux grandes écoles(CPGE). Une grande école recrute des élèves par concours et assure des formations de haut niveau. Ces concours se préparent en deux ans. La réussite de concours leur permettra d’entrer dans une des prestigieuses grandes écoles. Les étudiants doivent payer une très grande somme d’argent pour leurs études, notamment dans les Ecoles de commerce. Mais, dans les grandes écoles, l’éducation scolaire est pratique pour que des etudiants disposent des compétences nécessaires au développement des entreprises. Ces écoles comptent plus de 200 000 élèves, et ils couvrent tous les domaines du savoir et de la connaissance, des sciences fondamentales aux arts, les disciplines littéraires, juridiques et administratives, comme ENA(Ecole national d’administration), l’école des Mines(ingénieur en travaux publics), HEC(Hautes études commerciales) etc...

2.3 La dépense gouvernementale

Le gouvernement français fait très attention à l’ éducation nationale. La dépense publique annuelle (qui s"explique par la gratuité de l"éducation pour les étudiants) par étudiant en 2013 est de 11 630€, une somme importante. Grâce à la grande attention du gouvernement, le système éducatif français s’est beaucoup amélioré et leur qualité de l"enseignement a également atteint un haut niveau.

3. Le Développement de l"Enseignement Supérieur Chinois

3.1 Le changement et développement de l’enseignement supérieur chinois

En 1978, après plusieurs réformes et réajustements, le système de l’enseignement supérieur chinois, s’adaptant à l’économie et au développement national, a été initialement établi. Il existe plusieurs niveaux et de nombreuses formes différentes. Le nombre d’établissements d’enseignement supérieur était de cinq cent quatre-vingts dix-huit en 1978. Après un développement de vingt ans, il a atteint le nombre de mille soixante-dix en 1998, c"est à dire une augmentation de presque 80% pendant cette période. Au fur et à mesure de la mise en place de la réforme de l’enseignement supérieur, l’envergure (pas clair) des établissements s’est beaucoup développée. La qualité de l’enseignement s’est aussi évidemment améliorée.

L’amélioration de la qualité de l’enseignement supérieur est une priorité du onzième Plan quinquennal pour l’Education (2006-2010). Lancé en 1995, le Programme 211 vise à transformer un pôle d’universités de pointe en formation et en recherche à partir d’une centaine d’établissements (qui représente moins de 10% du total des universités chinoises) répartis sur l’ensemble du territoire.

Le Programme 985, lancé en 1998, vise à développer des disciplines-clés au sein des universités. Elles sont subventionnés par les Gouvernements provinciaux. Cela se traduit par des fusions d’établissements, une réforme du personnel enseignant, des associations entre universités, centres de recherche et entreprises, le développement de la coopération sino-étrangère et le renforcement de la recherche. En 2005, la Chine comptait trois cent soixante-cinq mille nouveaux étudiants-chercheurs ( 20 % en un an).

3.2 L’enseignement supérieur chinoise actuel

Les établissements d’enseignement supérieurs en Chine se répartissent en deux grandes catégories: les Etablissements supérieurs d"enseignement général (universités ou instituts) qui délivre des diplômes nationaux,de niveau Dazhuan(en trois ans), Benke(en quatre ans), Master(en six ou sept ans) jusqu’à Doctorat(en neuf ou dix ans); Les Ecoles supérieures techniques et professionnelles, de niveau moindre, délivrent des diplômes qui correspond aux études de deux ou trois ans et proposent des formations pour des adultes. En 2012, la Chine comptait deux mille deux cent soixante-treize établissements d’enseignement supérieur et ces établissements ont recruté 7,3 millions d’élèves ( 12% en un an). Pour pouvoir prétendre à l’appellation d’université (Daxue), un institut d’enseignement de niveau Benke doit compter huit mille inscrits dont cinq mille étudiants en formation initiale et 5 % d’étudiants-chercheurs. Une université doit proposer au moins trois disciplines principales d’enseignement et compter 50% d’enseignants de niveau Master et 20 % de titulaires d’un Doctorat.

L’entrée à l’université passe par un concours, le Gaokao. Le nombre de candidat est doublé en cinq ans, mais seulement un étudiant sur deux est admis à l’université. Des universités recrutent des etudiants en fonction de la note obtenu au Gaokao, qui constitue la seule preuve pour le recrutement. Les futurs étudiants doivent formuler des vœux d’universités et de spécialités par ordre de préférence. Cependant les universités ne se réfèrent souvent qu’aux premiers choix et, en cas de refus des universités choisies, le candidat n’est plus maître de son affectation universitaire ni de la discipline qu’il va étudier.

3.3 La dépense gouvernemental

Depuis 1998, les dépenses de l’Etat pour l’enseignement supérieur ont plus que doublées. En 2012, le budget de l’enseignement supérieur général était de cent soixante-quinze milliards RMB (environ vingt et un milliards d’Euros selon les taux de change actuels), dont 50% de fonds gouvernementaux. En 2012, l’Etat a dépensé huit mille RMB (mille Euros) par étudiant de l’enseignement supérieur.

4. La Comparaison de l’Enseignement upérieur entre la France et la Chine

4.1 Des avis sur l’enseignement

L’enseignement orienté vers les qualités occupe une place très importante dans l’enseignement supérieur français. La note n’est pas un facteur décisif pour le recrutement des étudiants. L’université fait une évaluation synthétique selon la moralité, le comportement et toutes les capacités des étudiants, et après, elle décidera si elle les recrute. Pendant les études dans l’université, on n’a pas de manuels fixes pour tous les cours. Ce qu’on apprend tous les jours est préparé par les professeurs eux-mêmes. Des étudiants doivent lire une grande quantité de livres avant et après leurs cours, ils doivent aussi prendre des notes pendant la classe. Il n’y a pas de réponses standards à tous les examens. En général, ce sont souvent une ou plusieurs dissertations subjectives. Ça c’est pour examiner si l’étudiant a une perspective originale et qu’il peut bien acquérir et utiliser les connaissances théoriques apprises lors de la classe.

En France, les étudiants sont indépendants dès l’âge de 18 ans. Parfois, ils payent les frais d’études eux-mêmes. Ils font leurs études en travaillant dans l’université, par exemple, en organisant les livres pour la bibliothèque, en aidant les écoles à accueillir les nouveaux étudiants, en faisant un stage dans une entreprise etc... Cela servira non seulement à résoudre les problèmes concernant les frais de subsistance, mais aussi à développer leurs capacités à vivre de façon autonome.

En Chine, on adopte l’éducation pour examens. L’examen joue un rôle décisif, c’est-à-dire que le système sélectionnera des écoliers puis des étudiants d"abord capables de réussir des examens. On commence à développer les capacités pour les examens quand on est à l’école maternelle. Des enfants prennent l’habitude de réciter mais pas de penser. Ce système d’éducation provoque facilement un très mauvais résultat: des étudiants peuvent obtenir une note haute mais ils manquent de créativité. Sous ce système, ils ne peuvent pas faire des progrès tout azimut, ce n’est évidemment pas bon pour le développement de la Chine. De plus, beaucoup d’enfants qui sont uniques dans leurs familles comptent trop sur leurs parents. Ils manquent d’indépendance et de capacités d’adaptation sociale.

4.2 La mode de l’enseignement

En France, le travail en groupe est considéré comme une partie importante de l’enseignement supérieur. Un groupe de travail est un regroupement dont l’objet est la réalisation d’un travail. C’est un groupe de personnes qui ont des relations interpersonnelles de face à face. Cette méthode d’enseignement est caractérisée par la convergence des efforts, par l’exécution d’une tâche qui sera l’œuvre commune. Pour que le groupe de travail soit efficace, chacun des membres doit être conscient de ses motivations et il veut que les autres atteignent leurs buts autant que lui-même. On a obtenu de bons résultats dans des activités pédagogiques. Il est bénéfique pour le développement de l’initiative et de la créativité des étudiants. De plus, il donne aux étudiants des occasions pour se connaître, pour s’entendre. Sous cette méthode d’enseignement, on peut former une bonne qualité: écouter les opinons des autres afin que l"on puisse bien se découvrir et se connaître.

En Chine, on a l’habitude d’accepter cette méthode d’enseignement: des enseignants transmettent des connaissances et des étudiants les acceptent. C’est-à-dire que le professeur est le sujet des activités pédagogiques, et des élèves occupent une position passive. Ce mode est utile pour enseigner aux élèves d"acquérir des connaissances systématiques et globales, mais ils ignorent le développement d"apprentissage des connaissances nécessaires et les capacités pour explorer.

4.3 Les méthodes de l’enseignement

En France, dans leur relation, l"enseignant et l’élève sont égaux. Depuis l"enfance, les enseignants et les parents encouragent leurs enfants à s"exprimer librement. Cela est propice au développement de la confiance en soi et de la capacité de réflexion des élèves. La forme de l"enseignement universitaire est très souple. De bons enseignants universitaires excellent à mobiliser l’enthousiasme des étudiants en changeant le contenu pédagogique, des méthodes et des outils etc... Le professeur parle souvent de l’état du développement ou quelques opinions controversées de cette discipline pour susciter l’intérêt des élèves. Et après, des professeurs demandent des conseils aux élèves pour déterminer le plan de l’enseignement. C’est peut-être le meilleur pour les étudiants.

En revanche, en Chine, les étudiants chinois ont peur pour leurs enseignants. Ils n’expriment pas leurs opinions si elles sont différentes de celles de leur professeur. Les enseignants et les étudiants n"ont pas une communication ouverte. Dans ce cas, les élèves ne peuvent pas ouvrir leurs cœurs, et se jeter pleinement dans leurs études. Ils n’ont pas d"occasions de démontrer leurs capacités. A la longue, ils manquent de créativité, d’esprit d’invention et d’imagination. C’est difficile de survivre dans un monde en plein changement, où ils devront affronter des problèmes inédits et imprévisibles.

4.4 Des ressources pédagogiques

En France, les ressources d"enseignement universitaire peuvent être partagés. Les élèves peuvent trouver ce dont ils ont besoin en traversant le réseau, par exemple des livres, des articles, des documents de référence etc... Il y a souvent des étudiants qui créent leur propre site Web, on peut télécharger des informations pour des examens et les notes d"autres étudiants. De plus, certains centres de langues sont ouverts 24 heures sur 24. Le centre offre toutes sortes de livres, DVD, ... Et même parfois il y a des enseignants qui donnent des cours de langues, où les élèves peuvent apprendre d"autres langues étrangères gratuitement.

En Chine, par contre, les ressources pédagogiques de nos universités sont relativement faibles. Les élèves peuvent visiter le site de la bibliothèque de l"école ou aller à la bibliothèque pour trouver l"information dont ils ont besoin, alors que d"autres sites n’ont pas beaucoup de ressources. De plus, en général, les sites Web sont payants, donc des ressources pédagogiques ne peut pas être partagées.

4.5 L’évaluation de l’enseignement

Les universités publiques françaises mettent en œuvre la politique: “admission facile et réussite difficile”, c’est-à-dire que tant que les étudiants ont réussi l"examen du baccalauréat, l"université sera obligée d"accepter l’étudiant pour les trois ans de licence (à partir du master, toutefois, les universités choisiront les étudiants en fonction des résultats obtenus lors de la licence et après avoir reçu les étudiants candidats pour un entretien). Elle n’a pas le droit de choisir des étudiants. Les étudiants français auront beaucoup de pression durant l"année scolaire. Le professeur demandera aux étudiants de lire un grand nombre de livres de référence, de plus, les étudiants doivent passer beaucoup de temps à apprendre le plus de connaissances par eux-mêmes. Le professeur assure la qualité de l"apprentissage des élèves grâce à une gestion rigoureuse. Le système d"examen est également très strict. Si un étudiant a raté l’examen, il devra rapprendre jusqu’à ce que le nombre de crédits obtenu sera suffisant. Les élèves qui échouent aux examens lors d"un année de redoublement seront éliminés. Une fois qu"ils sont éliminés, ils ne peuvent pas être transférés vers une autre université et poursuivre la même discipline qu’ils ont raté. Ce système peut motiver les élèves à apprendre fortement, et en même temps, il assure que seulement les meilleurs étudiants peuvent enfin obtenir un diplôme d"études universitaire. Il faut également remarquer que les universités privées et la plupart des écoles de commerces et d’ingénieurs suivent la politique opposée, c"est à qu"elles auront une admission difficile mais que par contre la réussite de l’étudiant sera presque assurée.

En Chine, la situation se rapproche très fortement de celle mise en place par les écoles de commerces et d’ingénieurs françaises. Les universités mettent donc en œuvre la politique: “admission difficile et réussite facile”. Les étudiants doivent passer un examen très rigoureux: Gaokao pour entrer à l"université. Mais après avoir être admis, la plupart des étudiants écoute en classe et ils mettent peu de temps pour approfondir ses études. Mais en effet, ils sont en mesure d"obtenir un diplôme avec succès qu"ils ont acquis les capacités ou non.

5. Ce que nous pouvons apprendre

Aujourd’hui, nos éducateurs explorent activement la voie de la réforme de l"éducation de la Chine. L"enseignement supérieur de la Chine se développe dans la direction de l"éducation pour la qualité. On met en œuvre activement la stratégie de développement durable pour renforcer les capacités pratiques des étudiants sans cesse. Mais, comme le dit le proverbe, «Rome ne s"est pas faite en un jour». C’est pareil pour la formation des concepts de l"éducation pour nous. Donc, tous les universités doivent faire leurs propres développements et continuer de s"ouvrir à une nouvelle vision en s"appuyant sur l"expérience de l"enseignement supérieur français.

5.1 L’amélioration de qualité des enseignants

On doit améliorer continuellement la qualité idéologique des enseignants. Les enseignants doivent changer le concept de l’éducation. Les programmes d"études et l"enseignement ne sont plus séparés les uns des autres. Les enseignants et les étudiants tous sont deux parties nécessaires du cours. Des activités scolaires ne sont pas seulement des cours où les enseignants ne savent que enseigner et les etudiants apprendre. C’est un processus où on peut se partager nos réflexions, nos expériences et connaissances, et plutôt des sentiments des uns et des autres.

5.2 La réforme des méthodes d"enseignement

Nous devons réformer les méthodes d"enseignement. Ça veut dire qu’on change la méthode traditionnelle: "injection" de l"éducation en l’éducation heuristique. Les étudiants peuvent participer davantage aux activités scolaires d"une manière équitable pour apprendre les connaissances scientifiques et culturelles. L’enseignement heuristique pour les étudiants est une des caractéristiques les plus évidantes parmi les méthodes d"enseignement de l"université française. Les enseignants adoptent la méthode d’enseignement sur la base des questions. Ils demandenet des questions aux étudiants pour les guider à réfléchir profondément. Et petit à petit, des élèves peuvent saisir la loi, acquérir de l"expérience et de l"inspiration. En fin de compte, nous pouvons développer la flexibilité et de l"innovation de la pensée et on peut aussi rendre nos connaissances plus étendues et plus pratiques dans le but d"améliorer les capacités des élèves à résoudre de nouveaux problèmes de manière indépendante. En général, on devrait souvent organiser des séminaires d"échanges universitaires afin d’élargir leurs horizons et leurs visions.

5.3 le renforcement de l"éducation d’intégrité

Il est aussi nécessaire pour nous de renforcer l"éducation d’intégrité. Les problèmes sur l"éducation d’intégrité influent directement sur la qualité de l"enseignement et sur la capacité d"innovation des étudiants. Par conséquent, nous devons continuer à établir et à améliorer les systèmes concernés. En même temps, certains départements de supervision sont chargés de les mettre en application de façon sévère. On donne une sanction sévère aux personnes malhonnêtes pour que nous puissions rendre notre environnement d’apprentissage plus pur.

On pourrait aussi établir un système d"index de notation de crédit. Nous pouvons apprendre du système d"indice de notation de crédit dans le domaine économique. L"honnêteté, la crédibilité, l"intégrité, la gentillesse et d’autres qualités morales sont confirmés comme les principaux éléments d"évaluation. Et nous obtenons des résultats par trois façons: l"auto-évaluation, l’évaluation par des camarades, l"évaluation par des enseignants. Et finalement, des résultats seront enregistrés dans des dossiers des élève qui vont accompagner jusqu’au travail. A long terme, il est bénéfique pour la construction de moralité sociale.

5.4 L’essai de l"éducation bilingue ou multilingue

On pourrait réaliser l"éducation bilingue et même multilingue dans certains disciplines, par exemple, dans les cours d’informatique, géographique, biologique etc. C’est bien pour améliorer la compétitivité internationale des étudiants.

5.5 L’amélioration de la condition d’éducation

La condition d’éducation est directement liée au développement de la capacité des élèves et à la qualité de l"enseignement. Il vaut mieux d"améliorer les conditions en accroissant les investissements pour fournir des environnements favorables aux talents créatifs en Chine.

Bibliographie

[1]Antoine Prost, Histoire générale de l’enseignement et de l’éducation en France, Depuis 1930, tome 4, Perrin, 2004.

[2]Louis Grimaud. “Histoire de la liberté d"enseignement en France”. Arthaud. 6 volumes, de L"Ancien régime,1944.à La Monarchie de Juillet,1954.

[3]苌庆辉,闫广芬. 法国高等教育评估制度的特征[J].高校教育管理, 2008, (2).

[4]王晓辉. 高等教育评估的另一个视角:法国高教评估特点分析 [ J ] .中国高教研究, 1995.

[5]徐丽敏. 我国高等教育评估机构运行机制的研究 [D ].上海:同济大学, 2006(12).

[6]郭平,田联进. 我国高等教育质量保障体系现状与对策建议[J].中国高教研究, 2011.

[7]杨健生,廖明岚. 法国高等教育质量保障立法及启示[J].高教论坛, 2006, (1).

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